DU TRAVAIL POUR TOUS LES JEUNES ADULTES, la meilleure LUTTE CONTRE L’OISIVETE ET LA PETITE DELINQUANCE
Dans certains quartiers, la jeunesse est abandonnée à elle-même. A Lingolsheim, la police qui a vu ses effectifs tomber de 12 à 3, voit son rôle limité à des rondes et à la répression. Ce dont ces jeunes ont besoin, c’est de responsabilités et d’emplois. Qu’a fait la mairie jusqu’à présent ?
- Nous voulons :
- L’accompagnement des jeunes dans la création de projets de loisirs.
- La présence de travailleurs de rue pour discuter avec ces jeunes, d’emploi et de création d’entreprise. Beaucoup sont titulaires d’un CAP ou BEP. Ensemble, ils sont capables de faire vivre des entreprises artisanales multiservices.
- Des locaux pour la formation de ces jeunes à d’autres métiers, destinés à la prise en charge des plus jeunes, après l’école et pendant les vacances.
- Des locaux dans les quartiers, dont ils auront la responsabilité et qu’ils pourront aménager avec du matériel de seconde utilisation (informatique, TV, agrès sportifs … )
- Une prise en charge de la propreté et de l'entretien des parcs par les jeunes et les éducateurs, avec l'aide généreuse des habitants de tous les quartiers. Les employés municipaux conseilleront et encadreront les aspects techniques.
- Les ressources financières viendront de quelques emplois municipaux recyclés en emplois d’éducateurs, des économies de matériel de surveillance, des aides prévues à cet effet par la CUS, Pôle Emploi et d’autres administrations …
Il pourra être fait appel au bénévolat des retraités et des actifs pour étendre et compléter le travail des éducateurs et formateurs, tout autant qu’à l’aide des associations subventionnées. Mais rien de cela ne se décrète : il faut dialoguer afin que chacun se rende compte par lui-même de ce qui peut être fait. Quand on veut, on peut !